Le néo-impressionnisme apparaît an 1886 par le critique Arsène Alexandre pour désigner un style qui persiste jusqu’au début du 20éme siècle.
Il s’agit d’un procédé pictural appelé divisionnisme pointillisme mis au point par Georges Pierre Seurat Chef de file du mouvement. Il conteste et rationalise les expériences instantanées et subjectives des impressionnistes. Seurat étudie les ouvrages scientifiques relatif à la peinture et la perception des couleurs dont «De la loi du contraste simultané des couleurs » de Chevreuil et « La grammaire des arts et du dessins » de Charles Blanc étudient la façon dont les lignes induisent les émotions, la participation active de Paul Signac qui publie Eugène Delacroix en néo-impressionnisme en 1889.
Seurat, Signac, Redon et Dubois–Pillet fondent en 1884 la société des artisans indépendants qui leur permet d’exposer leurs œuvres en marge du salon officiel. Ils sont soutenus par les écrivains symbolistes comme le poète Verhaeren car ils sont et s’attribuent un rôle social dans la peinture.
Les sujets exploités par les impressionnistes sont la vie moderne, les distractions populaires, les paysages, les nus et les portraits.
Se sont des images stables synthétiques qui entraînent la stylisation décorative, les formes sont dessinées avec précision, Ils utilisent les propriétés des couleurs, les teintes du prisme et les tons intermédiaires, appliquent la théorie du mélange optique en constituant la dernière couches de petites touches de tons divisés qui donnent un effet vibrant au tableau.
Le clair obscur est obtenu par les contrastes colorés et accentuent les effets lumineux les petites touches pointillistes restent proportionnées à la dimension du tableau et s’oriente en fonction du contour et des lignes de composition.
